- La LIPR garde le silence au sujet de la question d’apatridie, ce qui augmente la vulnérabilité des personnes apatrides;
 - Les systèmes gouvernementaux actuels de rassemblement de données ne sont pas cohérents et appropriés concernant les statistiques relatives à l’apatridie;
 
Que le CCR demande que CIC et la CISR révisent  leurs systèmes de gestion et de transmission de données afin  d’assurer un collecte et une transmission de statistiques relatives à  l’apatridie précis et qui s’effectuent dans des délais raisonables,  en particulier en ce qui concerne :  
• les audiences de détermination du statut de réfugié,  dans le cas où l’apatridie est un facteur (chiffres, pays de résidence)
• les demandes de motifs humanitaires des cas d’apatridie  (nombre de demandes acceptées, nombres de rejets, pays de résidence  habituelle)
• la détention des personnes apatrides (durée  de la détention, motif de la détention, pays de résidence  habituelle, lieu de détention, âge, sexe)
• l’expulsion des personnes apatrides (y compris le pays  de résidence habituelle, âge, sexe, pays vers lequel la personne  a été expulsée).
• la réinstallation des personnes apatrides.