Citizens for Public Justice (Ottawa) établit des relations de travail avec des organisations autochtones. Deux personnes, dont une étudiante en droit autochtone, étudient les trois principaux domaines de travail de l’organisation (la pauvreté au Canada, la justice écologique et les droits des réfugiés) et préparent des études internes pour guider les efforts visant à approfondir la réconciliation avec les Peuples autochtones.
IRCOM (Winnipeg), reçoit des conseils de leur personnel autochtone, des conseillers culturels et des aînés qui sont essentiels au succès de leurs partenariats. En 2017-8, l'IRCOM a reçu un financement de la part de la province du Manitoba pour le projet Common Ground, Stronger Voices afin de collaborer et d'améliorer les relations entre les Peuples autochtones et les nouveaux arrivants au Canada. Dans le cadre de ce projet, IRCOM a embauché du personnel autochtone pour se pencher sur les initiatives visant à construire des quartiers plus sécuritaires et intégrés à Winnipeg. http://www.ircom.ca/programs/common-ground-stronger-voices/
The Canadian Centre on Statelessness, ou CCS (Ottawa), établit des alliances et entretient des relations avec des organisations et des leaders autochtones afin de mieux comprendre le terme «apatridie autochtone». Actuellement, le CCS assiste à des événements autochtones, ateliers et séances d'information à Toronto ou dans ses environs afin de créer des liens et dans l’espoir d’accroître ces efforts à travers le Canada.
L'objectif principal de ce projet est d’assurer que les Peuples autochtones avec le CCS garantissent l'application d'une vision du monde autochtone plutôt qu’une vision occidentale qui perpétue le système colonial.
Le CCS a établi que l'apatridie autochtone se produit lorsque les Peuples autochtones refusent / résistent délibérément à l'État canadien en raison du colonialisme ou lorsqu'ils sont incapables de fournir la preuve de leur naissance au Canada. Donc, le CCS a commencé à collaborer avec des organisations et des dirigeants autochtones visant à mieux comprendre l’apatridie autochtone dans la vie des Peuples autochtones, par rapport à leurs besoins, leur sentiment d’appartenance ainsi que les perspectives politiques susceptibles de favoriser la réconciliation.